vendredi 24 décembre 2010
mercredi 15 décembre 2010
Avant l'heure, c'est pas l'heure !
En ce moment, je mets un peu d'ordre dans mon quartier ...
A ma Superette, ils vendent déjà la Galette des Rois. Un scandale !
Arrivant au bout de mon travail d'illustration des contes roumains, je profite de ce moment d'accalmie pour publier un petit billet avant les fêtes.
Non, je ne vire pas dans le blog nombriliste ''Moi à la Superette, moi au travail, moi en vacances, moi, moi, moi ...'' mais face aux violations des traditions, l'ethnologue doit agir et même savoir monter sur scène ! NON aux galettes des Rois début décembre !
***
A ma Superette, ils vendent déjà la Galette des Rois. Un scandale !
Arrivant au bout de mon travail d'illustration des contes roumains, je profite de ce moment d'accalmie pour publier un petit billet avant les fêtes.
Non, je ne vire pas dans le blog nombriliste ''Moi à la Superette, moi au travail, moi en vacances, moi, moi, moi ...'' mais face aux violations des traditions, l'ethnologue doit agir et même savoir monter sur scène ! NON aux galettes des Rois début décembre !
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Libellé(s) :
Une pensée illustrée ...
mercredi 17 novembre 2010
Ma crème à la Vanille souffle sa première bougie !
Il y a un an, au cœur de la nuit, ma petite plume posait son soulier sur la terre. Le temps semblait suspendu et dans un flou irréel brillait, claire et lumineuse, ma petite étoile filante. Je conserve à jamais cette image. La plus belle de ma vie.
Merci pour tout le bonheur que tu m’as apporté durant cette première année. Que les joies se succèdent, ainsi, sur un chemin que je te souhaite toujours aussi merveilleux.
La Multi Ani Pupi !
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Libellé(s) :
Fêtes et évènements ...
mercredi 3 novembre 2010
Petit aperçu ...
Pas de nouvelle, bonnes nouvelles !
Profitant des derniers rayons de la Toussaint, je reprends le chemin de la Porte dans la Pendule...
Les roues grincent et ma charrette fait voler mille feuilles comme des louis d’or. Roulent et craquent les fruits vernissés sous les sabots de mes destriers aux fanons touffus. Leur pelage s’est fait plus cotonneux en attendant l’hiver et leurs gros ventres pommelés chatoient sous les lumières de l’automne. Il faut accélérer le pas car les aiguilles de la Pendule se sont assoupies et la nuit nous rattrape déjà.
Une couche de poussière recouvre les boiseries mais rien ne semble avoir bougé. Je profite de cette brève visite pour déposer quelques pots de confiture et des cagettes de coings. Puisque j’y suis, je publie également un petit billet. L’un de mes clichés un noir et blanc réalisé sur les chemins des Contes Roumains ...
A bientôt,
Mlle Myosotis
Libellé(s) :
Côté travail ...,
România
vendredi 10 septembre 2010
lundi 30 août 2010
Barcelona : La Festa, Gracia !
Durant le mois d’août, comme 97,5 % des français, je suis partie à Barcelone !
La Sagrada Familia, la Pedrera, le parc Güell, la Rambla, le Barri Gotic, le port, le Montjouïc etc. Je ne vais pas tout mentionner, il y a tellement de chose à voir dans cette ville que les architectes semblent avoir dessinée avec un air de Zapateado dans la tête.
Cependant, du 15 au 21 août, c’est vers Gracia qu’il faut aller faire un tour pour s’en mettre plein les yeux. Bouteilles d’eau minérale, capsules de soda, dosettes de café, couverts en plastique, tissus bariolés et papiers en tous genres … les habitants de Gracia remontent leurs manches pour décorer, au gré de leurs envies, les rues du quartier à l’occasion de la Festa Major de Gracia. L’idée, pour cette fête à l’esprit plutôt familial, n’est pas de se ruiner en décorations mais, au contraire, d’assembler des petits riens pour un résultat grandiose qui doit plonger les visiteurs dans un univers féerique et propre à sa rue. Le premier prix sera ainsi décerné à ceux qui auront fait le plus preuve d’imagination en préférant l’utilisation de matériaux recyclés.
En journée, les habitants dressent de grandes tables dans les rues pour partager un repas entre voisins et de nombreuses activités sont proposées aux enfants. Pâte à modeler, dessin, jeux de cartes, pataugeages … tout pour occuper les chauds après-midis du mois d’août !
La nuit, dans les ruelles et sur les petites places, les décorations s’animent sous un bal de lumières scintillantes. Les groupes de jeunes - et de moins jeunes - déambulent, un verre à la main, pour admirer les décorations et profiter des spectacles/concerts.
Mon grand frère ayant eu la bonne idée d'élire domicile au cœur de ce joyeux quartier, nous avons arpenté, tongues aux pieds, toutes les rues de Gracia durant une semaine. Puisque dans ces conditions, il était parfaitement impossible de dormir, nous n’avions pas d’autre choix que de faire la fête ! Changer de rue pour changer de ciel et s’arrêter à des sources de cervesas limpides pour bavarder entre amis : cette villégiature barcelonaise fut des plus agréables !
Je remercie, à l’occasion de ce billet, mon frère et Nuria pour m’avoir accueillie dans leur maison. Un séjour qui fut encore l’occasion de franches rigolades et de belles rencontres. Je ne vais pas toutes les citer. Des personnages que l’on retrouvera ou que l’on ne retrouvera pas mais, qui pour nous avoir accompagné un bout de chemin, font désormais partis de notre histoire. C’est toute la magie du voyage !
Pour conclure, je pille sans vergogne un article sur le site «whatbarcelona.com» pour vous parler du quartier de Gracia. Cependant, je croise les données ! Suite à un travail ethnographique auprès des habitants (sans magnétophone … je sais … je perds la main !) je pense que les informations relevées dans cet article, peuvent tenir la route …
Depuis son rattachement à la ville de Barcelone à la fin du 19ème siècle, le quartier de Gracia est aujourd'hui un important lieu culturel de Barcelone. Zone incontestablement républicaine et libérale au cours de la première et de la seconde république espagnole mais aussi durant la guerre civile (1936-1939), Gràcia est devenu à partir des années 60-70 un quartier de bohème. Il est encore fréquent de voir des drapeaux anarchistes pendus aux fenêtres de bâtiments et d'autres signes de radicalisme politique dans les rues, sur les places, dans les bars ou encore dans des restaurants.
Beaucoup plus bourgeois qu'auparavant, Gracia reste tout de même un quartier "funky" et unique en son genre. Sa population est avant tout composée d'étudiants, d'intellectuels, d'artistes et de familles se regroupant pour organiser la Festa Major de Gracia, la plus important fête de quartier de l'année.
La Sagrada Familia, la Pedrera, le parc Güell, la Rambla, le Barri Gotic, le port, le Montjouïc etc. Je ne vais pas tout mentionner, il y a tellement de chose à voir dans cette ville que les architectes semblent avoir dessinée avec un air de Zapateado dans la tête.
Cependant, du 15 au 21 août, c’est vers Gracia qu’il faut aller faire un tour pour s’en mettre plein les yeux. Bouteilles d’eau minérale, capsules de soda, dosettes de café, couverts en plastique, tissus bariolés et papiers en tous genres … les habitants de Gracia remontent leurs manches pour décorer, au gré de leurs envies, les rues du quartier à l’occasion de la Festa Major de Gracia. L’idée, pour cette fête à l’esprit plutôt familial, n’est pas de se ruiner en décorations mais, au contraire, d’assembler des petits riens pour un résultat grandiose qui doit plonger les visiteurs dans un univers féerique et propre à sa rue. Le premier prix sera ainsi décerné à ceux qui auront fait le plus preuve d’imagination en préférant l’utilisation de matériaux recyclés.
En journée, les habitants dressent de grandes tables dans les rues pour partager un repas entre voisins et de nombreuses activités sont proposées aux enfants. Pâte à modeler, dessin, jeux de cartes, pataugeages … tout pour occuper les chauds après-midis du mois d’août !
La nuit, dans les ruelles et sur les petites places, les décorations s’animent sous un bal de lumières scintillantes. Les groupes de jeunes - et de moins jeunes - déambulent, un verre à la main, pour admirer les décorations et profiter des spectacles/concerts.
Mon grand frère ayant eu la bonne idée d'élire domicile au cœur de ce joyeux quartier, nous avons arpenté, tongues aux pieds, toutes les rues de Gracia durant une semaine. Puisque dans ces conditions, il était parfaitement impossible de dormir, nous n’avions pas d’autre choix que de faire la fête ! Changer de rue pour changer de ciel et s’arrêter à des sources de cervesas limpides pour bavarder entre amis : cette villégiature barcelonaise fut des plus agréables !
Je remercie, à l’occasion de ce billet, mon frère et Nuria pour m’avoir accueillie dans leur maison. Un séjour qui fut encore l’occasion de franches rigolades et de belles rencontres. Je ne vais pas toutes les citer. Des personnages que l’on retrouvera ou que l’on ne retrouvera pas mais, qui pour nous avoir accompagné un bout de chemin, font désormais partis de notre histoire. C’est toute la magie du voyage !
Pour conclure, je pille sans vergogne un article sur le site «whatbarcelona.com» pour vous parler du quartier de Gracia. Cependant, je croise les données ! Suite à un travail ethnographique auprès des habitants (sans magnétophone … je sais … je perds la main !) je pense que les informations relevées dans cet article, peuvent tenir la route …
Depuis son rattachement à la ville de Barcelone à la fin du 19ème siècle, le quartier de Gracia est aujourd'hui un important lieu culturel de Barcelone. Zone incontestablement républicaine et libérale au cours de la première et de la seconde république espagnole mais aussi durant la guerre civile (1936-1939), Gràcia est devenu à partir des années 60-70 un quartier de bohème. Il est encore fréquent de voir des drapeaux anarchistes pendus aux fenêtres de bâtiments et d'autres signes de radicalisme politique dans les rues, sur les places, dans les bars ou encore dans des restaurants.
Beaucoup plus bourgeois qu'auparavant, Gracia reste tout de même un quartier "funky" et unique en son genre. Sa population est avant tout composée d'étudiants, d'intellectuels, d'artistes et de familles se regroupant pour organiser la Festa Major de Gracia, la plus important fête de quartier de l'année.
mercredi 25 août 2010
Des Vacances en Aquitaine …
Renoncer définitivement à l’illustration numérique ? Ne rien publier au sujet de mon séjour à Bordeaux ? Ce serait une indignité envers mes très chères amies strasbourgeoises ! Avant d’abandonner la table graphique pour les pinceaux et les crayons, je souhaite ériger un billet en l’honneur de la fameuse Emananas de Pessac – dont la signature, dans la partie commentaire, vous est désormais bien connue – et de la non moins exceptionnelle Diane de Val Ancienne.
Partager le quotidien de ces deux enfants prodiges élevées à la Hammer Film Production fut un véritable privilège. Si dans son manoir les sorcières jouent à la marelle et les squelettes s’essayent aux claquettes sur la surface polie des pierres tombales, Emananas de Pessac sait vous recevoir avec une chaleur qui redonnerait couleur à n’importe quels vampires. Les chats s’étourdissent en ronds de jambe, les souris plongent la queue dans les poivrières et les araignées filent du crochet … Tout est prêt pour une 666ème projection de The Nightmare Before Christmas. Notre hôtesse assure l’ambiance, les statuettes de son mentor Tim Burton rougeoient à la lueur des bougies et la talentueuse Diane de Val Ancienne régit la partie technique. C’est un succès !
Ce séjour fut également l’occasion de découvrir un nouvel univers en passant de l’autre côté de la caméra. Dans mon costume d’apprentie scripte, le temps d’une nuit, j’ai eu l’honneur d’observer le réalisateur - Giles aux mains d’argent - faire danser les poupées de StressKiller.
Cependant, m’arrêter à cet univers horrico-fantastique serait réducteur. Je n’oublie pas les nombreuses promenades (de nuit mais aussi en plein jour !), les tables conviviales, les flots azurés de l’atlantique et les myriades d’étoiles que nous avons eu la joie de partager. C’est sans doute la visualisation du film Frida Kahlo en compagnie de mes deux amies qui m’a, en partie, inspiré cette illustration semée de symboles. Diane, déesse de l’informatique, gravit de son lasso-souris la paroi du clocher Saint Michel de Bordeaux. Emananas, dans sa robe de tulle vaporeuse, compte les hiboux et les matous pour un voyage vers de sombres chimères. En ce qui me concerne, une délicate réflexion de ma très chère sœur - « Avec tes baskets, tes lunettes et tes longues ficelles tu ressembles à Dian Fossey en pire car tu n’as même pas de gorille pour te consoler … » - m’a décidé (quitte à ne rien voir) à laisser mes lunettes de côté pour l’été, à couper mes cheveux et à troquer mes adidas contre des sandales et une jupe !
Mes chères amies, je vous remercie encore mille fois pour ce riche séjour. Moi qui perdais espoir et pensais que les rêveurs n’ont plus leur place dans ce monde, vous m’avez ravivée d’un souffle de fantaisie. Mieux vaut s’entourer d’originaux - même un peu décalés – plutôt que d’abandonner ses rêves et son sens créatif en voulant coller à ce que la masse appelle tristement ‘‘la maturité’’.
C’est sur l’exquis et fameux Bal des Vampires que je suis partie … j’attends la suite avec impatience. Que devient notre somptueux professeur Abronsius après avoir quitté le château ?
***
Partager le quotidien de ces deux enfants prodiges élevées à la Hammer Film Production fut un véritable privilège. Si dans son manoir les sorcières jouent à la marelle et les squelettes s’essayent aux claquettes sur la surface polie des pierres tombales, Emananas de Pessac sait vous recevoir avec une chaleur qui redonnerait couleur à n’importe quels vampires. Les chats s’étourdissent en ronds de jambe, les souris plongent la queue dans les poivrières et les araignées filent du crochet … Tout est prêt pour une 666ème projection de The Nightmare Before Christmas. Notre hôtesse assure l’ambiance, les statuettes de son mentor Tim Burton rougeoient à la lueur des bougies et la talentueuse Diane de Val Ancienne régit la partie technique. C’est un succès !
Ce séjour fut également l’occasion de découvrir un nouvel univers en passant de l’autre côté de la caméra. Dans mon costume d’apprentie scripte, le temps d’une nuit, j’ai eu l’honneur d’observer le réalisateur - Giles aux mains d’argent - faire danser les poupées de StressKiller.
Cependant, m’arrêter à cet univers horrico-fantastique serait réducteur. Je n’oublie pas les nombreuses promenades (de nuit mais aussi en plein jour !), les tables conviviales, les flots azurés de l’atlantique et les myriades d’étoiles que nous avons eu la joie de partager. C’est sans doute la visualisation du film Frida Kahlo en compagnie de mes deux amies qui m’a, en partie, inspiré cette illustration semée de symboles. Diane, déesse de l’informatique, gravit de son lasso-souris la paroi du clocher Saint Michel de Bordeaux. Emananas, dans sa robe de tulle vaporeuse, compte les hiboux et les matous pour un voyage vers de sombres chimères. En ce qui me concerne, une délicate réflexion de ma très chère sœur - « Avec tes baskets, tes lunettes et tes longues ficelles tu ressembles à Dian Fossey en pire car tu n’as même pas de gorille pour te consoler … » - m’a décidé (quitte à ne rien voir) à laisser mes lunettes de côté pour l’été, à couper mes cheveux et à troquer mes adidas contre des sandales et une jupe !
Mes chères amies, je vous remercie encore mille fois pour ce riche séjour. Moi qui perdais espoir et pensais que les rêveurs n’ont plus leur place dans ce monde, vous m’avez ravivée d’un souffle de fantaisie. Mieux vaut s’entourer d’originaux - même un peu décalés – plutôt que d’abandonner ses rêves et son sens créatif en voulant coller à ce que la masse appelle tristement ‘‘la maturité’’.
C’est sur l’exquis et fameux Bal des Vampires que je suis partie … j’attends la suite avec impatience. Que devient notre somptueux professeur Abronsius après avoir quitté le château ?
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vendredi 2 juillet 2010
Projet : diffusion de la culture et du patrimoine roumain ...
L'appel du travail
Ô ! Mes fidèles et fervents admirateurs !
Pourquoi rayer mon blog de vos ordinateurs ?
Depuis des lustres, je n’ai rien publié ?
Je sais.
Un zéro en visite cela m’a couté !
Pourtant, je ne fléchirais point,
Boudez, criez, tapez du poing,
Je suis au regret de vous annoncer :
Cette absence va se prolonger …
Passent les jours, passent les saisons,
Sans gagner un seul et maudit rond
Ô! Cette fois je n’ai plus le choix
Il me faut chercher un emploi !
Ô ! Mes fidèles et fervents admirateurs !
Pourquoi rayer mon blog de vos ordinateurs ?
Depuis des lustres, je n’ai rien publié ?
Je sais.
Un zéro en visite cela m’a couté !
Pourtant, je ne fléchirais point,
Boudez, criez, tapez du poing,
Je suis au regret de vous annoncer :
Cette absence va se prolonger …
Passent les jours, passent les saisons,
Sans gagner un seul et maudit rond
Ô! Cette fois je n’ai plus le choix
Il me faut chercher un emploi !
« Youpi, l’école est finie ! » comme dirait l’autre. Cependant, le plus dur, je crois, reste à venir. Je dois me rendre à l’évidence : trouver ‘‘un vrai métier’’ ou trainer de la guitare comme une vieille cigale toute ma vie.
Mes trop rares publications, cette année, vous avaient sans doute mis la puce à l’oreille. Le déclin était déjà amorcé ! La fin d’une belle époque où les dessins sortaient en flots continus de mes mains et où publication de billets rimait avec quotidien ! Mais, voilà, l’école, le travail … on m’a remise sur le rail !
Consolons-nous donc avec ce petit découpage d’été ! Il s’agit seulement de la présentation de mon rapport de stage qui devait clore ma formation mais je peux toujours la publier … après tout, ça me fera un nouveau billet !)
Mon stage a consisté à monter un projet d’échange culturel entre la France et … la Roumanie (évidemment !). Durant mon stage, je me suis appliquée à créer divers supports illustrés pour promouvoir la culture et le patrimoine roumain à l’étranger. Une collection de cartes postales, un Conte illustré, un recueil de contes populaires roumains … voilà ce qui m'a occupé ces derniers mois et qui va peut-être encore m’occuper cet été.
Maintenant, pour limiter la misère et ne pas - en plus de devoir travailler - me retrouver en prison, je précise que cette illustration était uniquement destinée à la présentation de mon rapport de stage. En effet, les petites assiettes, dentelles, icônes ou cuillères en gravitation autour de la terre ont été piochées au gré de mes envies dans ‘‘Google images’’. N’ayant demandé aucun droit d’auteur aux propriétaires des photos, je suis, à cette heure, dans l'illégalité la plus totale. Pourtant, braves gens, prenez pitié car c’est avec un grand respect que je les ai découpées … Allez ! S’il vous plait ! Vous n’allez tout de même pas me faire un procès ! …. Déjà que je vais sans doute devoir travailler …
P.S : les chaleurs excessives qui sévissent depuis quelques jours sur l’hexagone et donc, par conséquent, sur mon système nerveux expliquent, sans doute, le tas d’âneries que je viens encore d’écrire … mais, au moins, on ne me reprochera plus de publier un dessin sans même rédiger un petit billet … hein ?
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Libellé(s) :
Côté travail ...,
România
jeudi 10 juin 2010
De retour pour un grand évènement : Les 10 ans de Vincent !
Joyeux Anniversaire !
Caroline, Céline et Sébastien
Libellé(s) :
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Fêtes et évènements ...
jeudi 8 avril 2010
mardi 30 mars 2010
La France en blanc ...
J’entends sonner les cloches – c'est vrai, l’école est finie ! - mais ce sont des cloches de Pâques dont je veux parler ! Avant de peindre les œufs que je mets de côté depuis le début du Carême – ha, parce que vous ne jeûnez pas, vous ? - il me faut d’abord finir mon grand ménage de printemps, balayer les derniers flocons de neige, pour en finir avec la vieille année et se parer de neuf pour accueillir le printemps !
Pourtant, Dame Nature et ses longs colliers de perles nacrées nous laissera de beaux souvenirs. Va-t-elle, enfin, laisser glisser son épais manteau blanc ?
Pour clore le cycle hivernal, je range dans l'album cette série de photos. Elles doivent nous laisser quelques arguments pour ne pas balayer d'un revers méprisant la morte saison, et...
Pourtant, Dame Nature et ses longs colliers de perles nacrées nous laissera de beaux souvenirs. Va-t-elle, enfin, laisser glisser son épais manteau blanc ?
Pour clore le cycle hivernal, je range dans l'album cette série de photos. Elles doivent nous laisser quelques arguments pour ne pas balayer d'un revers méprisant la morte saison, et...
Quelques raisons d'aimer la France en blanc ...
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lundi 22 février 2010
Revue L'Attentive : c’est très sport !
Un bel hiver qui me donnerait pourtant bien l’occasion de publier quelques illustrations. Mais voilà …. le temps …. toujours le temps ! Après ces dernières années de vadrouille, je me retrouve collée à Nancy pour un retour prolongé sur les bancs de l’école (je crois que je vous en ai déjà parlé … mais j’aime tellement me plaindre…). J’ai ressorti mon fidèle stylo bic, mes feuilles à carreaux et mes Stabilos roses. A cette heure, je gère la fiche re-re-surlignée pour une longue période de révision. Snif!
L’hibernation, heureusement, vous rend plus patient. Je ne dois pas pourtant vous oublier ! Aussi, réjouissez-vous, je vous offre un petit quelque chose à grignoter. Enfilez vos moufles et nouez vos écharpes, on part se réchauffer pour une séance très sport!
Nous avons dû réaliser pour un magazine trimestriel, "L’Attentive", quelques illustrations à partir d’une liste de thèmes tournant essentiellement autour du sport et des femmes. Je vous laisse voir ce que j’ai proposé … oui, c’est assez naïf, mais vous commencez à connaître le style de la Mère Myosotis !
Un, deux, trois, PUBLIEZ !
L’hibernation, heureusement, vous rend plus patient. Je ne dois pas pourtant vous oublier ! Aussi, réjouissez-vous, je vous offre un petit quelque chose à grignoter. Enfilez vos moufles et nouez vos écharpes, on part se réchauffer pour une séance très sport!
Nous avons dû réaliser pour un magazine trimestriel, "L’Attentive", quelques illustrations à partir d’une liste de thèmes tournant essentiellement autour du sport et des femmes. Je vous laisse voir ce que j’ai proposé … oui, c’est assez naïf, mais vous commencez à connaître le style de la Mère Myosotis !
Un, deux, trois, PUBLIEZ !
Bien entendu, on clique sur les images pour les agrandir
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